Pour rappeler les luttes sociales et altermondialistes qui eurent lieu il y a exactement 10 ans (déjà…) durant le Sommet des Amériques de Québec du 20 au 22 avril 2001, nous poursuivons la diffusion entamée il y a deux semaines de la troisième partie (sur 4) du long métrage Le Gambit du fou (2002) un film indépendant à petit budget qui n’a rien à envier aux blockbusters hollywoodiens : avec sa finale apocalyptique faisant appel à 6000 comédiens-policiers et plus de 50 000 figurants-manifestants, il reconstitue le Sommet des Amériques de Québec avec un réalisme troublant…

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LE GAMBIT DU FOU (3 de 4)

À force de se mettre dans la peau de Dubé, son ancien partenaire d’échecs mystérieusement disparu, Yvon D. Ranger commence à voir les choses comme lui. C’est donc tout naturellement qu’il se rend à Québec, en avril 2001, manifester contre le Sommet des Amériques.

Outre la rapacité des grands criminels à cravate qui s’y trouvent et la brutalité policière, Ranger y découvrira, à travers les flashbacks d’une célèbre partie d’échecs avec Dubé, le véritable sens du mot « Gambit »…

( pour les puristes qui voudraient un son et une image moins compressés, il me reste encore pas mal de DVD…)

Pour rappeler les luttes sociales et altermondialistes qui eurent lieu il y a exactement 10 ans (déjà…) durant le Sommet des Amériques de Québec du 20 au 22 avril 2001, nous poursuivons la diffusion entamée la semaine passée de la deuxième partie (sur 4) du long métrage Le Gambit du fou (2002) un film indépendant à petit budget qui n’a rien à envier aux blockbusters hollywoodiens : avec sa finale apocalyptique faisant appel à 6000 comédiens-policiers et plus de 50 000 figurants-manifestants, il reconstitue le Sommet des Amériques de Québec avec un réalisme troublant…

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LE GAMBIT DU FOU (2 de 4)

Yvon D. Ranger continue d’enquêter sur la disparition de son ancien adversaire aux échecs, Christian Dubé. Loin de ses sources habituelles, il a l’impression de se rapprocher de lui à mesure qu’il rencontre des anarchistes, des entartistes, des Zapartistes et des journalistes des médias indépendants.

Mais comme dans le temps de leurs interminables parties d’échecs, bien qu’il comprenne de plus en plus les motifs qui animent Dubé, il sait que quelque chose lui échappe encore. Quelque chose qui ressemble à l’essentiel…

( pour les puristes qui voudraient un son et une image moins compressés, il me reste encore pas mal de DVD…)

LE GAMBIT DU FOU (1 de 4)

La prémisse est classique : deux gars et une fille forment un trio inséparable. À la fin de leurs études à l’université, Sophie décide d’aller vivre à la campagne avec l’un des deux gars, Christian Dubé, mettant ainsi fin abruptement à trois ans de grande complicité avec Yvon D. Ranger.

Dix ans plus tard, la disparition soudaine et mystérieuse de Dubé force Sophie à reprendre contact avec Ranger. Ancien grand rival de Dubé aux échecs, elle sait qu’il est le seul capable de comprendre ce qui est arrivé à son compagnon. S’engage alors pour Ranger la plus éprouvante enquête de sa jeune carrière de journaliste…

( pour les puristes qui voudraient un son et une image moins compressés, il me reste encore pas mal de DVD…)

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Nous sommes en avril 2011, ça ne vous rappelle rien ? Non, je ne veux pas vous rappeler ce mauvais poisson d’avril de la campagne électorale fédérale actuelle… Mais plutôt  un événement marquant des luttes sociales et altermondialistes qui a eu lieu il y a exactement 10 ans (déjà…) : le Sommet des Amériques de Québec du 20 au 22 avril 2001 ! Lire la suite »

Au sommet, mais pas d’une hiérarchie

Reprenant l’ascension où nous l’avions laissée, le cocktail « politique-fatigue » s’invite dans le cerveau de ma partenaire et y fait entendre des grondements peu rassurants. Tout comme le message de la pancarte avertissant qu’on entre dans une zone où « many have died »…  Mais  elle survit, gravit et finalement sourit, tout ça sans hiérarchie !

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Vaincre le fatalisme avant la montagne

Même loin en haut d’une montagne, des « raisons humanitaires qui apparaissent évidentes » peuvent nous ramener brutalement dans l’actualité…

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De quelques ordures d’hier et d’aujourd’hui

Lire sur le coup d’état récent au Honduras dans le New York Times en haut d’une montagne, c’est un peu chercher le trouble. Se rappeler un reportage sur Kissinger à la télé, là vraiment, c’est le trouver à coup sûr ! Récit d’une autre mauvaise nuit…

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Sortir d’un cul-de-sac évolutif

La découverte fortuite d’une plaque d’argile, associée au chaud soleil qui tape sur nos têtes, nous plonge dans un petit délire qui nous fait remonter jusqu’aux origines de la vie. De là, nous parcourons toute l’évolution, non sans croiser quelques voies sans issue ayant pour nom Bush, oligarchie, capitalisme…

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D’étranges problèmes techniques dont on n’a jamais pu localiser la source nous obligent cette semaine à scinder en deux notre épisode. Désolé pour le clic supplémentaire que cela exigera de notre cher public. Quand on s’affiche avec des gens de « l’ultra-gauche », voilà les dangers auxquels on s’expose…

(une chance (pour eux) que le ridicule ne tue pas)

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Khadir de plus ?

Les plages splendides des bords du Saguenay semblent propices aux confidences puisque ma compatriote va me faire un aveu, que dis-je, un scoop, une bombe, un pic, un cap, bref elle va m’avouer avoir sur la conscience le pire crime qu’une anar puisse commettre…

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Baie tranquille et manif cauchemardesque

Ayant survécu à leur premier temps des Fêtes en commun, nos valeureux aventuriers ressortent leur tandem l’été suivant et remettent ça cette fois-ci sur les rives du majestueux fjord du Saguenay. Le décor est donc toujours aussi sublime, les anecdotes de voyage aussi juteuses que leur classique salade de canne, et notre chère anar, fidèle à elle-même, chiâleuse à souhait et obsédée par tous les connards de droite qui retardent l’avènement d’un monde meilleur…

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Suite à l’appel de détresse de Jean Charest qui le réclamait à grands cris, Enfin les vacances Production Inc est fier de poursuivre gratuitement cette semaine la diffusion dans le cyberespace de la quatrième et dernière partie (4 sur 4) de « L’anus horribilis », Chronique militante d’une année merdique » (2006 ).

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L’ANUS HORRIBILIS (4 de 4)

Ayant pris du recul dans les montagnes de la Corse, notre militant « radical » retrouve ses ami(e)s dans un état d’esprit qui lui permet maintenant de discerner ce qu’ils font d’intéressant, et pas seulement ce qu’ils ne veulent plus faire…

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