L’épilogue ajouté au « Petit guide des invations barbares » (que vous pouvez écouter directement cette semaine en cliquant sur la version ci-bas du vidéo), on l’avait tourné pour parodier le mépris qu’avait démontré la ville de Val-David pour les locataires évincé(e)s de Guindonville. On était alors loin de se douter que ça allait faire fureur pour de vrai 7-8 ans plus tard… (voir les liens sous le vidéo !)
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Le 09 octobre 2010
Les conteneurs à l’honneur
« Parmi les plus réputées, notons le complexe Container City et l’hôtel Travel Lodge, tous deux à Londres, les logements pour étudiants à Keetwonen, à Amsterdam, le musée Papertainer en Corée du Sud, ainsi que les logements du collectif TAM Associati pour les médecins d’un hôpital au Soudan. À la fin d’août, par ailleurs, une résidence universitaire a été inaugurée au Havre, en France. »
Des conteneurs pour aider les sans-abri
«L’itinérance est un passage, précise-t-il. Ce n’est pas une destination. Le conteneur est un symbole du voyage qui amènera l’itinérant ailleurs, vers une autre étape de sa vie.»
En faveur des conteneurs
«On va percer des ouvertures dedans, fait remarquer M. St-Jean. Mais on va les choisir, ils ne seront pas tout bosselés!»
Et même à Haïti !
Le 12 août 2010
Luck Mervil : reconstruire Haïti, village par village
« Muni de lits et d’une table escamotable, le conteneur converti peut abriter une famille de six personnes, a expliqué Gilles Robitaille, de Constructions nomades, une firme des Laurentides. Un conteneur adjacent abritera une salle de bains et des lavabos. Des panneaux solaires permettront à la maison d’être autosuffisante au point de vue énergétique. Selon l’architecte qui supervise le projet, Ron Rayside, le tout résistera à la fois aux tremblements de terre et aux ouragans. »
De moins grandes ambitions, et pas de conteneurs ici, mais tout de même intéressant pour Haïti :
Le 23 janvier 2012
Haïti: quand les sinistrés mettent la main à la pâte
« «On a maintenant une vraie maison, permanente et parasismique!», s’exclame Mme Britus, fière du travail accompli. «Il faut penser à transformer les communautés en acteurs de leur propre reconstruction, soutient M. Jean-Baptiste. Il revient aux Haïtiens de s’occuper de la reconstruction de leur pays.» »