Ayant pris du recul dans les montagnes de la Corse, notre militant « radical » retrouve ses ami(e)s dans un état d’esprit qui lui permet maintenant de discerner ce qu’ils font d’intéressant, et pas seulement ce qu’ils ne veulent plus faire…
Déçu par ses amis qui ne veulent pas reformer le pamphlet politique A.N.U.S., révolté par la répression policière, exaspéré par les grands médias complaisants, notre militant « radical » se retrouve en totale inhibition de l’action. L’instinct de survie le pousse alors à fuir. Les contingences du moment orientent cette fuite vers les montagnes de la Corse et un recul philosophique salvateur…
Le militant « radical » déprimé par les événements du début de l’année 2003 continue de rencontrer les membres du groupe avec lesquels il publiait sept ans auparavant un pamphlet politique dont l’acronyme était l’A.N.U.S. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ses amis ne sont pas chaud à l’idée de reformer ce groupe. Et pendant ce temps, la répression des réfugiés et des militants politiques se poursuit sur fond d’inégalités sociales grandissantes…
Avec le déclenchement de la guerre en Irak et l’élection du gouvernement Charest au Québec, le début de l’année 2003 plombe le moral d’un militant « radical ». Celui-ci reprend toutefois espoir lorsqu’il retrouve des exemplaires de l’Anus, un pamphlet politique qu’il publiait sept ans auparavant avec des ami(e)s. Il se sent alors investi d’une mission essentielle…
( vers la fin de cette première partie, le son semble décaler légèrement par rapport à l’image, un problème de compression que je n’ai pas pu régler… si jamais vous êtes des puristes qui voulez un son parfait (et une belle image moins compressée), il me reste encore pas mal de DVD…)
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La première saison de Enfin les vacances s’est donc terminée la semaine passée avec un chapitre aussi fugace et insaisissable que son sujet, le bonheur. Cette web série fut certainement, et de loin, l’événement culturel de l’automne 2010.
Le plus bel hommage est probablement venu de la « queen of the soap » du Québec, Labienne Farouche, qui s’est dite « émue comme jamais » par notre téléroman web anarchiste pour toute la famille. Elle a rappelé que si les 1740 épisodes de Virginie,avaient été un exercice de style, une satire sociale «qui n’a pas été comprise par tous les spécialistes», Enfin les vacances faisait au contraire l’unanimité par la clarté de son propos anarchiste et anti-capitaliste.
