Le temps d’aimer le tandem et…

Le temps avait fait son œuvre : son genou s’était rétabli, et notre relation avait muri. Bref, les deux étaient maintenant assez forts, du moins le pensions-nous, pour prendre nos premières vacances ensemble et en tandem s’il-vous-plaît ! Jusqu’à ce que la dure réalité nous rejoigne au détour d’une balle de foin…

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C’est avec ce deuxième chapitre que la série prend vraiment son envol ou plutôt son gros braquet, puisqu’on y pédale enfin en masse dans de beaux paysages… Et comme toujours au début d’un chapitre, une petite citation de Éloge de la fuite, chapitre sur l’amour, évidemment :

« Avec ce mot on explique tout, on pardonne tout, on valide tout, parce qu’on ne cherche jamais à savoir ce qu’il contient. […] Celui qui oserait le mettre à nu, le dépouiller jusqu’à son slip des préjugés qui le recouvrent, n’est pas considéré comme lucide, mais comme cynique. Il donne bonne conscience, sans gros efforts, ni gros risques, à tout l’inconscient biologique. »    – Henri Laborit, Éloge de la fuite, p.18

Ça commence un peu raide mais bon, y faut s’qu’y faut… Bon visionnement !

*

Groupe : « Tadamon ! »

À l’action ! : On est tanné.e.s d’être dans la rue : Pressons l’citron!

Film pertinent : « Entretien avec Omar Assaf coordonnateur général du Forum Mondial Éducation Palestine

Question de la semaine : Quel type de relation entretiennent-ils avec Le Devoir ? a) dépendance malsaine; b) amour-haine; c) « déception jamais décisive » (dixit Pierre Vadeboncoeur, Un génocide en douce, p.115)