Comme dixième et dernier chapitre de Enfin les vacances (eh oui, déjà !), on vous propose un petit pont entre le passé, le présent et l’avenir… On ne vous en dit pas plus pour l’instant, à part peut-être que le passé c’est le bonheur qu’on a eu à partager ces trois saisons de ce téléroman web anarchiste pour toute la famille avec vous, que le présent est cet ultime chapitre, et que l’avenir sera… « Restez à l’écoute », comme y disent !  ;-P

Et ce n’est pas parce que c’est notre dernier chapitre qu’il faut perdre ses bonnes habitudes ! Voici donc une petite citation de Laborit tirée du chapitre du même nom dans l’Éloge de la fuite (p.157) :

« Nos pratiques révolutionnaires sont-elles capables d’autocrorrections successives pour atteindre un but qui ne sera pas celui que nous avons imaginé, mais un autre qui ne sera déjà plus le même quand il deviendra objet de nos désirs ? […] C’est l’éloge de l’imaginaire, d’un imaginaires jamais actualisé et jamais satisfaisant. »

– Henri Laborit

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Les racines espagnoles

De l’hornazo à la cathédrale, les souvenirs de ses dernières vacances à Salamanca avec ses parents à l’âge de 11 ans lui reviennent malgré les décennies écoulées. Tout comme ceux de sa famille divisée par la guerre civile espagnole.

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Groupe : GEORGE ORWELL, DE LA GUERRE CIVILE ESPAGNOLE À 1984

À l’action ! : Hommage à un militant républicain espagnol disparu : Abel Paz

Film pertinent : Vivre l’utopie partie 1 documentaire, guerre, d’espagne, espagne

Question de la semaine : Qu’est-ce qu’il vont foutre dans ce patelin perdu qu’est Villavieja de Yeltes ?